[Sean & Savanah] Crois-moi, à chaque fois que je te croise, l'envie de te cracher à la gueule me démange.

Je te déteste, réellement, tu sais pourquoi? Non?! Moi non plus.” Cette façon qu'il avait de toujours être là quand je ne voulais pas le voir, cette façon qu'il avait de passer pour un mec bien alors même qu'il n'hésitait pas à tuer pour obtenir ce qu'il voulait et cette façon qu'il avait de toujours avoir raison m'énervais au plus haut point. Je connaissais Sean Jefferson depuis le début de l'été, je l'avais croiser une première fois dans Miami alors que je rejoignait Tom pour une journée entre nous, il y'avait un règlement de compte entre deux mecs et il était là avec ses potes à regarder et à rire. Idiot. Je ne l'aimais déjà pas sans même le connaitre, je l'avais recroiser au country club quelques semaines plus tard et j'avais eu envie de le gifler, il était venu me parler à l'accueil du country club alors que je remplaçais une des filles et m'avais demander un conseil pour je ne sais plus trop quoi. Je ne l'aimais pas et même si  je me devais d'être au moins un minimum poli avec les clients et potentiels clients, j'avais bien fait comprendre à Sean que je ne l'aimais pas. Il m'avait demander les raisons de ma haine envers lui plus tard lorsque nous nous étions recroisés et j'avais été incapable de lui répondre, c'est pourquoi il m'avait proposer de nous voir une journée pour que j'apprenne à le connaitre et pour que je puisse juger de si oui ou non ma haine était justifier. Je n'en avais pas tellement envie mais j'avais fini par accepter et je devais donc le retrouver sur l'une des plages du country club, un peu réticente à l'idée de rester avec lui, j'avais demander à ce que ce ne soit pas la plage privé du club et il avait accepter.
J'arrivais donc à la plage un peu en avance et allais m'installer dans un coin tranquille, attendant qu'il arrive, sans trop être pressée, après tout, si je ne l'aimais pas jen'avais pas à me justifier, je ne l'avais jamais fais avant et lui n'avais aucune raison de vouloir me faire changer d'avis.”

© charney