Il n'y a que toi qui compte à mes yeux. Quand est-ce que tu vas le comprendre? | Harry

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Ce matin, j'étais allé voir comment allait Ivanny avant d'aller faire quelques courses pour elle, n'ayant pas le courage de sortir, et pour moi. En effet il me manquait certains produits capillaires et vous savez combien mes cheveux sont importants pour moi! Bref, tout en faisant cela, j'avais échangé des tweets avec Harry sur twitter. Des tweets qui ont d'abord dévoilé une nouvelle crise de jalousie de sa part. La discussion a ensuite pris une tournure... étonnante. Bref, tout ça pour dire qu'on s'affichait sur twitter et que c'était à mourir de rire même si par moment il revenait sur un sujet délicat telle que sa jalousie. Je prenais toujours le ton de la rigolade pour que le monde entier ne découvre pas qu'Harry était réellement jaloux. Je ne voulais pas afficher notre vie privée et c'est pourquoi je m'énervais parfois au poste d'un de ses tweets.
Après avoir déposé les affaires d'Ivanny et les miennes, je pris le chemin d'un restaurant de Miami. Je devais rejoindre mon bien aimé pour passer notre premier vrai moment rien qu'ensemble en dehors de l'hôtel depuis le début des vacances. J'ignorais si la discussion allait partir en vrille ou repartir sur le ton de la rigolade comme sur twitter. Tout ça pour dire que j'espérais passer un bon moment avec lui. Mais tout commencer mal.
En effet, lorsque j'arrivai devant le restaurant, Harry discutait avec deux filles, des filles l'ayant vraisemblablement reconnu et qui lui faisaient les yeux doux. Harry adoptait un sourire charmeur tout en leur parlant. Une horrible douleur me submergea comme à chaque fois que je le voyais draguer d'autres filles. Et comme à chaque fois, j'essayais de ne rien montrer. A mon approche, les deux filles partirent mal à l'aise mais en continuant d'envoyer des sourires à Harry sur le chemin. Je soupirai et sans un mot à Harry, j'entrai dans le restaurant, tout sourire ayant disparu de mon visage.

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Leigh Anne m'avait demandé de venir manger un bout pour notre premier jour. Après l'échange que nous avions eu sur nos compte Twitter, j'avais juste envie de tout envoyer en l'air pour lui montrer à nouveau de quel bois je me chauffais. Elle ne manquait pas d'air, elle savait exactement ce qui me fouter en l'air et pourtant, elle s'en fichait éperduemment. J'adorerai vraiment qu'elle le comprenne. Après ce qui m'était arrivée avec Dona, après m'être résolue à lui avoir dit ce qui s'était passé, elle continuait de jouer avec moi. Pourtant, je ne pouvais avouer qu'une chose, c'était qu'avec elle, j'avais vraiment l'impression de revivre. C'était avec un verre de Whisky que je tentais d'oublier cette encartade alors que deux jolies filles s'invitèrent à ma table. Elles se présentèrent comme étant deux plus grandes fans et elles m'avaient demandé un autographe. Même si je n'exerçais pas mes fonctions, je ne pouvais pas le leur refuser puis vint leur sourire à tomber par terre et leur jeu de jambe incroyable. Je ne savais pas si c'était avec mes coups d'infidélité que je réservais à Leigh mais en tout cas, elles savaient exactement ce qu'il fallait faire pour me faire tourner la tête. Surtout qu'en ce moment, elle me rendait complètement fou. Pourtant, je l'aimais comme un fou, elle me rendait fou. Leigh avait ce petit truc qui avait tout un sens pour moi et elle le savait. J'avais même une peur panique de retomber dans le même bordel qu'avec Dona. Il était hors de question que cela m'arrivait à nouveau et que je fasse subir la même chose aux "Angels Gangs" Au secours, qu'est-ce que je ne donnerait pas pour une petite dose rien que pour oublier que je l'aimais à ce point. Ce fut les regards tendues de mes prétendantes que j'avais comprit que Leigh arrivait de derrière moi.

"Bonjour Amour !" dis-je alors lorsque je me retrouvais face à toi.

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Non mais je rêve?! Il se permettait de me dire comme si de rien n'était "Bonjour Amour!" alors qu'il draguait ces deux pouffiasses qui n'étaient pas de vrais fans à tout les coups mais des filles qui s'intéressaient à Harry seulement et pas aux autres membres de son groupe. Moi-même étant fan du groupe je savais différencier les fans des groupies. << Ouai c'est ça... >> marmonnais-je énervée. Il ne se rendait pas compte à quel point il me blessait en allant voir d'autres filles soit disant pour mon bien. Pfff, comment il réagirait si je faisais ça? Là il aurait une raison de péter son câble. J'avais tellement envie de frapper sur quelque chose!
Je m'emparais du menu après m'être assis. Il fallait que je concentre mon regard sur autre chose que sur le visage de celui que j'aimais. Si je le regardais j'allais exploser. Mais je ne lisais pas réellement le menu, non, j'essayais de me calmer. J'essayais d'apaiser toute les émotions négatives que je ressentais. Il fallait à tout prix que je me calme, je ne voulais pas attirer l'intention sur nous. Notre célébrité le faisait déjà assez comme ça.

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Je parcourais la salle du regard, avec une intention sans borgne. Je n'avais pas grand chose à faire d'autre puisqu'elle ne portait aucune intention sur moi. Elle m'en voulait par ce qui s'était passé avant qu'elle n'arrive, heureusement qu'elle était arrivée maintenant. Je ne savais pas laquelle choisir, on aurait dit que les deux se faisaient la guerre. Un paris ? Laquelle des deux allaient m'avoir... Dans la presse, cela aurait été pris d'une façon, j'en étais plus que certain. Je croisa les doigts sur la table en contemplant ton visage déformé par la colère et.. la tristesse..? Je décida alors de proposer à quelque chose à boire pour détendre un peu l'atmosphère.

Quelque chose pour te détendre, Amour ?

Je poussa un profond soupire tout en faisant un signe au serveur qui passait non loin de-là. Notre popularité mettait tout le monde à nos pieds et parfois, cela me rendait dingue. Hors devant des potentielles prétendantes, c'était toujours très agréable d'en jouer. C'était pour cela que je préférais ne rien dire. J'avais toujours voulu être célébre, donnait le meilleur de moi-même pour en arriver jusque là, il n'y avait rien qui ne pouvait me faire redescendre et pourtant... Tu étais là, juste devant moi. Il y avait tellement de chose que j'aurai aimé pouvoir te dire mais qui restait au fond de moi. J'avais cette crainte secrète que tu m'abandonnes après que je t'aurais ouvert mon coeur. Dona n'avait pas attendu bien longtemps après pour se foutre ouvertement de ma gueule et je l'avais vraiment très mal pris.

Alors, as-tu choisi ? Tu m'as l'air tendu...

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Il voit ma colère et essaye de détendre l'atmosphère en me proposant un verre. Je décidai de ne pas lui répondre, trop énervée et blessée pour oser parler. De plus, je serais incapable de me concentrer sur le menu pour voir quelles boissons le restaurant proposait. Devant mon silence, Harry osa me dire : "Tu m'as l'air tendu..." Je levais lentement le regard pour le poser sur le sien. Je refermai le menu et le posai sur la table. Je croisai les bras et lui répondis avec sarcasme : << Non, pas du tout. Tu penses? Quoi que maintenant que tu le dis tu as peut-être raison après tout. Dis moi, je veux un conseil. Comment tu réagirais si tu me voyais draguer deux mecs devant toi? Qu'est-ce que tu ressentirais? Hein? Dis moi. >> La colère s'entendait clairement dans ma voix bien que j'avais fait attention à ne pas parler fort pour éviter d'attirer l'attention des personnes présentes autour de nous.

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Mon sourire s'évanouit automatiquement après que tu avais ouvert la bouche. Je fis un signe de tête au serveur pour lui faire comprendre de ne pas s'approcher pour le moment. Il s'inclina et repartit à ses besognes. Je n'avais vraiment pas envie de parler de ça avec toi maintenant, surtout que nous étions sur un lieu public et que tu savais exactement où ce genre de conversation allait mener. D'autant que cela m'étonnait que ce fut toi qui mettait ce sujet sur le tapis..

Je te regardais, non je te toisais du regard en tentant vainement de ne pas imaginer ce que tu venais de me dire. Il n'y avait rien de tel que de faire voir rouge. Je jetais un regard au dessus de ta tête, prenant vraiment sur moi pour ne pas tout renverser sur le sol et de te secouer. Je n'avais jamais été violant avec toi, me vengeant littéralement sur un punching-ball, en pensant tabasser ces pauvres types. Or, ta provocation m'avait pris de court. Je savais que j'allais trop loin mais c'était uniquement pour ton bien, putain, mon dieu, donnait moi une dose !!!

Premièrement, je n'ai rien fait. Deuxièmement, ce sont elles qui se sont ramenées et troisièmement, avec toutes les demandes en mariage que tu as, toutes aussi romantiques, je me demande ce que tu fous encore avec moi !

J'avais opté pour une voix calme mais toute aussi tendu que la tienne.

C'était des paroles que je lâchais machinalement. Je n'avais pas le choix, j'avais juste besoin d'une excuse pour... pour... replonger.

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Il sembla énervé par mes paroles et je craignais le temps d'un instant qu'il frappe tout ce qui se trouverait sur son chemin. Heureusement, il tenta tant bien que mal de se calmer et me répondit qu'il n'avait rien fait. Et il me reparla de cette stupide histoire de mariage de twitter. En tachant toujours de ne pas parler trop fort je répondis : << Oh oui bien sûr. C'est vrai que tu dragues chaque personne sans t'en rendre compte. Tes petits sourires et tes petits regards charmeurs et tout. Tu sais aussi bien que moi que ce sont toutes ces petites choses qui m'ont fait fondre quand on n'était pas encore ensemble. Si ça a marché sur moi ça marche forcément sur les autres aussi. Et arrête avec cette histoire de mariage, tu sais très bien que c'était pour rire. Tu as des femmes et même des hommes à tes pieds qui demandent à ce que tu les épouses toi aussi. Pourtant ni toi ni moi n'allons dire oui. >> Il était tellement énervant parfois! Il se comportait comme un gamin capricieux. Sous le coup de la colère je continuai : << Qu'est-ce que tu veux? Qu'est-ce que tu veux à la fin? Que je n'adresse plus la parole à tous les hommes de cette Terre? Que je ne parle plus à personne d'autre que toi? Si c'est le cas et bien séquestres moi tant que tu y es. >> Je regrettai immédiatement mes paroles. Ce n'était pas comme ça que j'allais arranger les choses entre nous et c'était dangereux de dire ça dans un lieu public. Je soupirai et sans le laisser répondre je repris sur un ton doux, un ton limite suppliant : << Il n'y a que toi qui compte à mes yeux. Quand est-ce que tu vas le comprendre? Jamais je ne te tromperais, je ne pourrais pas et je n'en ai pas envie. Je ne veux que toi et seulement toi à mes côtés. >> J'étais tellement épuisée par notre situation. Tout ce que je désirais c'était de passer de bons moments avec lui sans avoir à craindre que tout ne parte en vrille entre nous à cause de la jalousie. Était-ce trop demander? Si je venais à perdre Harry, je savais que je ne remontrais pas la pente.

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Je me balançais sur ma chaise, les doigts croisée sur mon visage, comme si j'étais plongée dans une transe. J'avais toujours fais la sourde oreille lorsque tu me faisais ce genre de déclaration mais le ton que tu employais m'avait attrapé à la gorge. Je renifla bruyamment tout en refaisant signe au serveur qui terminait sa commande sur une autre table. Je revenais à toi comme si on allait m'arracher une dent. C'était difficile de bien se tenir alors que j'avais juste envie de tout envoyer en l'air. Il était fort de café que tu me fasses porter le mauvais rôle en stipulant que la meilleure solution serait que je te séquestre.

Oui et pourquoi pas, un harnais pour les balades du soir... Je te laisserai choisir les couleurs...

C'était quand même dingue après toute les preuves d'amour que je t'avais témoigné, tu osais aussi me dire que j'avais toute les chances avec d'autres filles, voir même avec des mecs. Autant avant, je ne leur répondait pas autant maintenant, je n'avais plus aucune gêne à le faire étant donné que tu le faisais avec le pire des sang froids que je connaisse. J'avais tellement envie que tu puisses me convaincre du contraire mais tu avais le même discours que l'autre. Heureusement, mes aventures me vidaient la tête. Cependant, aucune d'entre elle n'avait la passion que nous avions tout les deux lorsque nous oublions nos différents. Ces temps mort me manquaient beaucoup.

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J'avais envie de pleurer. Je ne ressentais que cette désagréable sensation de devoir retenir ses larmes. << Harry... Sois sincère avec moi. Est-ce que tu aimes encore cette Dona? Parce que tu me compares constamment à elle et je n'en peux plus. Je ne suis pas elle et je ne serais jamais une fille comme elle. Si tu n'es pas capable de l'oublier alors pourquoi tu t'acharnes à rester avec moi? >> Il pensait toujours à ce qu'elle lui avait fait. L'aimait-il encore? Avaient-ils connus un amour encore plus fort que celui que je partageais avec Harry? Ou cet amour allait-il dans un seul sens en fin de compte? Depuis un certain temps, je me disais que cette Dona possédait encore le cœur d'Harry. Une idée que j'avais essayé de me débarrasser mais qui revenait toujours lors de nos disputes. Si vous saviez toute la rage que j'ai pour cette pauvre femme qui ne méritait pas l'amour d'Harry. C'est à cause d'elle si tout cela nous arrive...

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Je ne pensais pas un seul instant que tu allais me dire une chose pareil et ça me fit sortir de mes gonds. Je passais au crible tout ce que je pouvais faire, même si rien ne me venait, à part me lever brusquement en balançant mon verre au travers de la salle. Il alla s'écraser sous une table mais je n'y prêta aucune intention :

Putain mais tu réalises vraiment ce que tu viens de dire. Tu es entrain d'insinuer qu'elle signifie encore quelque chose pour moi mais tu perds la tête ma pauvre fille. Puis-je te rappeler à quel point je suis... Tu penses vraiment ce que tu dis, LA !

Je passa mes deux mains sur mon visage, prenant une profonde respiration, réalisant nerveusement la peine que ma voix avait exprimé. Je ne l'avais peut-être pas volé après tout ce que je t'avais fait subir mais tu osais dire que je l'aimais encore alors que je t'aimais comme un fou. C'était d'ailleurs pour ça que je ne pouvais m'accrocher encore plus à toi. Tu n'arrivais donc pas à comprendre ce qui se passait réellement.

Dona n'es plus rien qu'un déchet broyé à la déchèterie à l'heur ou je te parle. Il n'y a personne d'autre que toi qui me rends aussi dingue, tu n'as même idée à quel point tu me faire tourner en bourrique avec tout ces connards avec lesquels tu t'amuses.. Tu crois que ça m'amuse de m'humilier de cette façon devant des millions de personne ?

J'avais baissé d'un ton, mon visage était tout près du tien. Je ne voulais qu'il y ait d'autres personnes qui m'entende. Au pire, il y avait la table voisine qui devait s'essuyer les pieds à cause de ma crise.

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Mes dernières paroles eurent pour conséquence les actes redoutés. Il se leva subitement et jeta son verre d'eau à travers la salle ce qui me fit sursauter. Je savais déjà que nous ferions la une des journaux. Une très très mauvaise publicité pour ma tournée qui allait bientôt débutée. Mais je me fichais bien de cela à ce moment là. J'avais peur pour mon couple. J'avais peur de le perdre. Il m'accusait encore une fois d'être la méchante dans toute cette histoire et je ne pouvais plus retenir mes larmes. J'étais paralysée par sa colère et je désirais plus que jamais être enterrée six pieds sous terre pour éviter sa colère et le regard des autres. Il croyait sincèrement que je m'amusais à la rendre fou alors que je faisais tout pour éviter cela. Mais comme je le disais précédemment, je ne pouvais pas ne pas parler à d'autres hommes. << C'est ce que tu penses? Tu penses sincèrement que je m'amuse à te torturer? Tu te tortures toi-même Harry. Je suis désolé de te le dire mais tu as un sérieux problème. Fais toi soigner. >> dis-je tout bas pour être sûre que lui seul m'entende.
Je me levai à mon tour et couru jusqu'à la sortie du restaurant. Je ne pouvais pas rester une minute de plus en sa compagnie. Je ne le quittais pas, non, j'en étais incapable. Je reviendrais toujours vers lui. Toujours.

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Toute mes excuses !

Je restais planter là alors que tu avais fui mais la peur de te perdre m'avait prit aux tripes. Je couru à ta poursuite. Heureusement à quelques enjambées, je te rattrapa sur les rebords de la terrasses. Je te fis faire volte-face afin que tu te retournes vers moi et te serra contre moi. Je n'avais certainement pas les mots pour te dire à quel point je t'aimais mais je savais quand je dépassais les bornes et la violence ne fera jamais de toi un martyr. Je ne voulais pas être violant avec toi car la plupart des couples qui s'en remettaient à ce genre de faciliter me dégoutait.

Excuse-moi, Bébé ! Je ne voulais pas te faire peur..

Je caressais l'arrière de ton crâne et embrassais ton front comme si cela pouvait réparer toutes mes erreurs. Devant un écran, c'était facile de dire ou faire les choses cependant, face à face, c'était une toute autre histoire.

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Je sortais dehors en larmes. Je cherchais mon chemin à travers mes larmes mais je ne pus continuer ma recherche très longtemps car des bras m'encerclèrent et me tournèrent. Je me retrouvais dans les bras d'Harry en moins de deux secondes ce qui me fit chaud au cœur. Il me serra contre lui et s'excusa pour ce qui venait de se passer. Je continuais de pleurer, la tête contre son torse. J'entourais sa taille d'un de mes bras pour être sûre qu'il ne s'éloigne pas de moi. << Harry je n'en peux plus. Pourquoi tout va mal entre nous? >> me plaignis-je. J'étais tellement épuisée par tout ceci.
Je ne voulais pas craquer devant tout le monde, mais je n'avais pu faire autrement. D'ici peu, les paparazzis allaient rappliquer. Peut-être était-il déjà en train de photographier et filmer la scène. Nous allons avoir de gros problèmes avec nos managers et le groupe Harry et moi...

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Je savais ce qui allait nous attendre dans quelques minutes si nous ne prenions pas nos jambes à notre cou. Je poussais un profond soupire tout en te serrant tout contre moi. Je n'étais pas un pourri au point de te faire mal au point que tu perdais le contrôle de toi même. D'ordinaire, c'était toi qui me calmait et me redonnait envie de rester. Aujourd'hui, j'avais l'impression que c'était à mon tour de prendre soin de toi. Seulement, quelques regards par-ci par-là me foutaient la haine. Je pris ton visage entre mes mains, posant mon front contre le tien. Je fermais les yeux et lentement, je posais mes lèvres contre les tiennes, prenant une profonde inspiration.

Viens on rentre, bébé !

Je ne savais pas quoi répondre à ta question, j'avais beaucoup de mal à me comprendre moi-même. Je te cala tout contre moi et, d'un dernier baiser sur ton front, je t'entrainais avec moi vers nos appartements.

Je ne sais pas comment mais je vais tout faire pour arranger ça..

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Il ne répondit pas à ma question mais il m'embrassa et comme à chaque fois qu'il m'embrassait, je ressentais cette sensation dans mon cœur que j'avais ressentit lors de notre premier baiser. J'étais amoureuse de lui, voilà pourquoi j'étais incapable de m'en séparer après tout ce qu'il a fait. Je me trouvais idiote d'avoir douter de ses sentiments. Il m'aimait et c'était pour cela qu'il se comportait comme il le faisait.
Tout en me gardant dans ses bras, nous prîmes le chemin de retour avant que les paparazzis ne viennent à notre rencontre. J'étais persuadé que l'info était déjà sur internet...
Harry me dit qu'il ferait tout pour arranger les choses. J'avais envie de le croire et je ne doutais pas que cela puisse être possible. Mais je savais aussi que cela mettrait beaucoup de temps avant que tout ne se calme entre nous...

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